C’est une
évidence.
On n’a pas tous les choix,
mais on a toujours le choix.
Devant toute épreuve,
on a l’option d’en mourir ou d’y survivre
et devant l’échec,
le choix de s’aimer ou de se détruire.
Devant les imprévus,
on possède la liberté
de rire ou de pleurer
et dans l’adversité,
le choix de pardonner
ou de culpabiliser.
Au milieu de la confusion,
on a toujours la faculté de voir
et de croire,
l’alternative de se fermer
et d’oublier.
Au cœur de la détresse,
on détient un éventail
de paroles et de silences,
le loisir de parler ou de se taire.
Devant une décision, on a le pouvoir
d’agir ou de rester immobile,
et par dessus tout,
le choix de rester ou de partir.
Stéphanie Houle